Il ne suffit donc plus aux professions réglementées de vendre à leurs clients leur seul savoir technique. Elles doivent devenir les business partenaires de leurs clients.
Retrouvez l’article de Karine Riahi et Véronique Dutoit ici
Chroniques de confinement : cabinets d’avocats, adapter son « business model »
Une gouvernance solide pour les professions réglementées
Trois questions à Catherine Sauvat, présidente du think tank Emerize